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Contrôle effectué le 6 Novembre 2024 à Souzy-La-Briche.
De nombreuses autres molécules ont été analysées, voir le détail dans le lien ci-dessous.
Cliquer ici pour obtenir le rapport ainsi que les précédents.
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Seules deux Essonniennes sur trois se font dépister contre le cancer du sein.
La CPAM de l’Essonne aux côtés du Centre régional de coordination des dépistages des cancers en Ile-de-France, et de la Ligue contre le Cancer, lance en octobre la campagne de sensibilisation au dépistage du cancer du sein.
180 000 essonniennes âgées de 50 à 74 ans reçoivent tous les 2 ans une invitation pour se faire dépister.
Le dépistage organisé repose sur :
- Une mammographie (examen radiologique) accompagnée d’un examen clinique des seins, pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie.
La liste des radiologues agréés est jointe au courrier d’invitation ou consultable sur ameli.fr
- Une relecture de la mammographie par un 2ème radiologue.
Dans le cas où l’invitation a été perdue ou non reçue, l’Assurance Maladie peut vous renvoyer le document. Contactez-la au 36 46 (service gratuit + prix de l’appel).
Selon des études internationales, les programmes de dépistage du cancer du sein permettent de réduire de 15 à 21 % la mortalité par cancer du sein. Ainsi, grâce au dépistage, de 100 à 300 décès par cancer du sein sont évités pour 100 000 femmes participant de manière régulière au dépistage pendant 7 à 10 ans.
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Cliquer ici pour visualiser le bilan Délégation départementale de l’Essonne – Saison 2023
Le moustique tigre (Aedes albopictus) est un moustique originaire d’Asie, de petite taille, noir avec des rayures blanches sur l’abdomen et les pattes. Il est urbain, vit proche de l'homme, dans des gîtes anthropiques (soucoupe d'eau, eau stagnante, ...).
Il s'est implanté en France hexagonale au début des années 1990. Depuis, il n'a cessé d’étendre son territoire de colonisation, du sud vers le nord. Au début des années 2000, celui-ci a été repéré en Île-de-France, et y est maintenant installé, dans la majorité des départements franciliens.
On considère que ce moustique est installé depuis environ trois ans en Essonne au regard des prospections mises en oeuvre suite à des signalements citoyens et du contrôle du réseau de pièges pondoirs installés dans le département.
Celui-ci est vecteur de maladies (arboviroses) telles que le chikungunya, la Dengue ou le Zika. Cependant, une présence avérée de moustiques ne signifie pas une augmentation de cas de maladies, mais une augmentation du risque de circulation des virus.
Afin de lutter contre la dissémination de ces arboviroses, le Ministère en charge de la santé a élaboré un plan de lutte en cinq niveaux. Les deux premiers niveaux (0a ou b, 1) prennent en compte la surveillance entomologique (développement du moustique), alors que les niveaux 2 à 5 prennent en compte la surveillance épidémiologique (circulation du virus). Ce plan prévoit une vigilance renforcée en métropole du 1er mai au 30 novembre. Cela signifie que les pièges pondoirs sont surveillés à une fréquence plus élevée.
Le département de l'Essonne est en niveau 0b, ce qui signifie que le moustique est présent mais non actif. Pour information, les départements voisins des Hauts-de-Seine et du Val-de-Marne sont en niveau 1 depuis respectivement 2016 et 2018.
Afin de maintenir un niveau 0 et de prévenir une éventuelle expansion de la zone colonisée, un certain nombre de mesures citoyennes peuvent être mises en place. La suppression de point d'eau stagnante, afin de supprimer les sites pouvant devenir des gîtes larvaires mais aussi le développement du signalement citoyen via la plateforme internet http://www.signalement-moustique.fr/ sont les deux mesures phares de prévention et de détection du moustique tigre.
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PROLIFERATION DE LA CHENILLE PROCESSIONNAIRE DU PIN
C’est le bon moment pour lutter
contre son installation !
Depuis plusieurs années, notre Département fait face à la prolifération de ce nuisible et nous avons constaté, cette année en particulier, son installation sur Torfou.
Il n'existe pas actuellement de réglementation nationale de lutte obligatoire, mais compte tenu du danger potentiel que représente ce nuisible pour l’homme (les urtications provoquées par ces chenilles sont très gênantes pour l’adulte voire dangereuses pour les jeunes enfants, les personnes rencontrant des problèmes respiratoires et les animaux), il convient de lutter contre sa présence sur notre territoire.
Il existe différentes méthodes de lutte contre ce nuisible (mécanique, biologique ou chimique) selon le cycle de vie de cet insecte qui se présente ainsi :
En hiver (jusque mi-mars), les chenilles processionnaires, sous forme d’œufs, sont installées dans les cocons qu’elles ont tissés sur les branches des arbres (chênes et pins en particulier).
Un cocon de chenilles processionnaires
C’est donc le moment propice pour les éliminer par la méthode de lutte dite « mécanique » (qui s’avère être aussi la plus efficace) : l’élimination des nids qui se sont développés dans les arbres.
Cette opération nécessite souvent du matériel adapté (nacelle pour atteindre les nids en hauteur, protections individuelles …..).
ATTENTION ! Ne prenez pas de risques inutiles.
Consultez les professionnels agréés qui sauront vous proposer la solution la mieux adaptée à votre situation.
Vous trouverez leurs coordonnées sur le site suivant : Chenilles processionnaires en Essonne
Voici le document complet de l'observatoire des chenilles processionnaires : Observatoire des chenilles processionnaires
Sur ces sites, vous pourrez également tout savoir sur ce nuisible (son cycle de vie, ses prédateurs, et toutes les méthodes et périodes de lutte).
Lire la suite : Danger - Prolifération de chenilles urticantes
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Les cyanobactéries, qu'est ce que c'est ?
Ces micro-organismes photosynthétiques se développent dans les eaux douces superficielles, stagnantes, peu profondes et riches en nutriments.
Comment les reconnait-on ?
Elles forment des dépôts abondants de couleur variable (bleu-vert).
Quels sont les risques?
Les températures estivales favorisent leur développement. Ces cyanobactéries sécrètent des toxines qui représentent un risque pour la santé humaine mais aussi animale (troubles digestifs, neurologiques et cutanés).
Depuis plus d'un mois, un affichage est en place afin d’alerter les usagers des sites du Syndicat sur les risques, leur rappelant de ne pas entrer en contact avec l’eau des bassins et ne pas laisser leurs chiens s’y abreuver.
A la fin de l'automne, lorsque ce phénomène épisodique disparaitra naturellement, l'alerte sera levée
Source : Syndicat de l'Orge
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Le cancer colorectal, le dépister à temps peut vous sauver la vie.
En France, le cancer colorectal se situe, tous sexes confondus, au troisième rang des cancers les plus fréquents (17 500 décès par an*). Ce cancer est la deuxième cause de décès par cancer chez les femmes (8496 décès par an*) et le troisième chez les hommes (9337 décès par an*).
Il est particulièrement fréquent à partir de 50 ans. Pourtant détecté tôt, il se guérit dans 9 cas sur 10.
Le test de dépistage est simple, rapide (1 seul prélèvement) et se réalise à domicile. Il permet de détecter du sang dans les selles invisible à l’œil nu.
L’ADMC 91 (Association pour le Dépistage des Maladies Cancéreuses de l’Essonne) invite tous les 2 ans par courrier les hommes et les femmes de 50 à 74 ans à se rendre chez leurs médecins traitants pour retirer le test de dépistage.
Le test est pris en charge à 100% par l’assurance maladie et les résultats vous sont envoyés ainsi qu’à votre médecin traitant.
Dans 96% des cas, le test est négatif. Cela signifie qu’aucun saignement n’a été détecté. Il est très important de refaire le test 2 ans plus tard et de surveiller les signes d’alerte dans l’intervalle.
Dans 4 % des cas, le test est positif. Cela ne signifie pas que vous avez un cancer mais que du sang a été détecté dans les selles. Pour en identifier l’origine, votre médecin prescrit alors une coloscopie.
A partir de 50 ans, puis tous les 2 ans, le bon réflexe, c’est de parler du dépistage du cancer colorectal avec votre médecin traitant.
Pour plus de renseignements, consultez le site internet de l’ADMC 91 à l’adresse suivante: www.admc91.org ou contactez-nous par téléphone au 01 64 90 75 81 ou par mail à :
* source « Les cancers en France en 2016 - L'essentiel des faits et chiffres (Février 2017) »
Association pour le Dépistage des Maladies Cancéreuses dans le département de l’Essonne
Centre Hospitalier de Bligny
CS 30365
91640 FONTENAY LES BRIIS
Tél: 01 64 90 75 81
Mail:
Autres liens :
Institut National du Cancer (INCa)
Tutoriel du nouveau test
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